Démarches administratives
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La Ville n’a pas le droit d’intervenir de manière directe sur une zone privée comme celle de la Zone d’activité Montalbot de la Longueraie. De plus, cette zone économique dépend de la communauté d’Agglomération Val d’Yerres Val de Seine (CAVYVS).
Néanmoins, avec l’appui de la Communauté d’agglomération Val d’Yerres Val de Seine, plusieurs démarches sont menées par la Ville sur le site depuis plusieurs mois afin d’accompagner la remise en état et la transformation de la zone d’activités :
• Le Grand Valdoly a fait l’objet d’études tout au long de l’année 2024 afin de définir un projet global de transformation. Un schéma d’objectif sera prochainement présenté en Conseil communautaire et fera ensuite l’objet d’une traduction dans le PLU de la ville de Vigneux-sur-Seine à travers une OAP (orientation d’aménagement et de programmation) qui définira les grandes intentions d’aménagement pour le site dans les prochaines années.
• La ZAE Montalbot est intégrée au périmètre dit « du Grand Valdoly » (60 hectares), secteur inscrit comme périmètre de projet au titre d’une délibération prise par la Communauté d’agglomération en février 2024. A ce titre, la ville est en mesure de repousser des demandes d’autorisations d’urbanisme qui s’avèreraient inadaptées.
• La ville de Vigneux-sur-Seine et la CA VYVS doivent également signer, dans le courant de l’année 2025, une convention d’intervention foncière avec l’Etablissement Public Foncier d’Ile-de-France afin d’être en mesure d’intervenir pour acquérir d’éventuelles parcelles présentant un caractère stratégique sur la zone d’activités, afin notamment d’éviter l’installation de nouvelles activités susceptibles de générer des nuisances.
• Par ailleurs, suite à une réunion organisée à la fin de l’année 2024 entre la ville, l’Agglomération et l’ASL, visant notamment à échanger sur les conditions d’une éventuelle reprise en gestion des espaces publics par la ville, il a été demandé à l’ASL de procéder à un diagnostic complet de ses infrastructures, à l’estimation de leur remise en état et à l’évacuation des déchets et épaves présents sur le site.
En parallèle, et faisant suite à un ensemble de démarches restées infructueuses auprès du syndic de copropriété, la Ville et le SyAGE ont pu saisir les services de l’Etat pour des faits de délinquance environnementale supposés.
Cette saisine s’est traduite par l’intervention conjointe, le 26 novembre 2024, du Colden avec une soixantaine d’agents des services de Justice, de Police, de l’URSAF, de Police de l’Air et de Frontières, des services de la Ville et du Syage pour une série de contrôles : administratifs, environnemental, fiscal…. A l’arrivée, 17 établissements ont été contrôlés, et certains obligés de fermer. De nombreuses infractions ont été constatées et verbalisées par un agent assermenté.
Dès l’après-midi, la petite fosse Montalbot a été dépolluée des hydrocarbures et des déchets retenus par le barrage flottant, les résidus d’hydrocarbures et de graisses sur la chaussée nettoyées et la majeure partie des dépôts sauvages éliminée. Un deuxième contrôle, le 17 décembre dernier, a visé spécifiquement les établissements fermés lors du premier contrôle
Aujourd’hui, si des progrès ont été enregistrés sur les dépollutions, force est de constater que d’importants dépôts sauvages subsistent, ainsi que des épaves de véhicules sur la voirie. La CAVYVS, la Ville de Vigneux-sur-Seine et leurs partenaires poursuivent donc leurs injonctions auprès du syndic de copropriété pour qu’il fasse nettoyer la zone d’activité.
Les violences inter-quartiers dans l’agglomération Val d’Yerres Val de Seine (VYVS) représentent un défi majeur pour la sécurité et la cohésion sociale du territoire. Alimentées par des rivalités territoriales et des frustrations sociales, ces violences affectent particulièrement les jeunes et aggravent les tensions locales.
Pour répondre à cette situation préoccupante, la ville de Vigneux-sur-Seine, à travers le Conseil Local de Sécurité et de Prévention de la Délinquance (CLSPD), a élaboré un ambitieux « Plan Local de Prévention 2025 ». Ce plan repose sur une analyse approfondie des causes sous-jacentes des violences et vise à renforcer la cohésion sociale.
Une partie essentielle de ce plan s’appuie sur une enquête menée par l’Institut FORS, spécialisé en sociologie et études comportementales, ainsi qu’un programme d’actions pluriannuelles élaboré par le cabinet CFIF. Cette enquête a permis d’identifier plusieurs facteurs fragilisant la cohésion sociale, tels que :
L’objectif est d’agir sur les causes profondes de ces problématiques, et non pas seulement d’apaiser les symptômes visibles. La clé du succès réside dans la mise en œuvre d’une stratégie collective, mobilisant les acteurs du territoire pour concevoir des solutions cohérentes et adaptées à leurs compétences respectives.
Le budget global de ce plan, financé par le Fonds Interministériel de Prévention de la Délinquance (FIPD) à hauteur de 87 500 €, sera réparti entre ces cinq axes pour garantir l’efficacité des actions. Chaque euro investi est destiné à des objectifs précis et mesurables, assurant ainsi la pérennité des mesures mises en place.
Nous reviendrons en détail, dans les prochains numéros du VLM, sur l’avancement de ce Plan Local de Prévention. Vous découvrirez des immersions sur le terrain et des témoignages des acteurs engagés aux côtés de la ville de Vigneux-sur-Seine.
Un réaménagement majeur du réseau de bus en Val d’Yerres Val de Seine est lancé par Île-de-France Mobilités et la Communauté d’agglomération. L’objectif ? Faciliter l’accès aux quartiers de la ville et améliorer les connexions avec les communes voisines et les pôles d’échanges majeurs.
Toutes les lignes du secteur commencent désormais par «41».
Connexion rapide entre Vigneux-sur-Seine et la Gare de Villeneuve-Saint-Georges via Montgeron et Crosne.
Fréquence : toutes les 12 min en heure de pointe.
Ligne traversant Vigneux-sur-Seine avec un service renforcé :
15 min en pointe, 30 min en creuse, service élargi le week-end.
Liaison renforcée entre Vigneux-sur-Seine et Crosne.
Un bus toutes les 30 min le dimanche (contre 60 min auparavant).
Des lignes spécifiques pour garantir ponctualité et confort :
Envoyez-nous votre message par mail et nous le diffuserons sur les journaux d’information électroniques de la ville. Faites-nous parvenir votre texte à l’adresse : communication@vigneux91.fr (100 caractères maximum) avant le 10 février 2025.
Les 30 premiers messages seront publiés.
Deux tickets et un tarif identique pour tous les Franciliens
Le 1er janvier 2025, deux tickets seront proposés et remplaceront tous les autres.
• Vous prenez le train, le RER ou le métro ? Un trajet vous coûtera désormais 2,50 €, quelle que soit votre destination, même si vous allez à l’autre bout de l’Île-de-France
• Vous prenez le bus ou le tramway ? Votre trajet sera facturé 2 €, quelle que soit votre destination
À noter :
• Le Ticket Métro-Train-RER est valable uniquement sur les lignes de métro, train et RER
• Le Ticket Bus-Tram est valable uniquement sur les lignes de bus et de tram
• Si vous faites une correspondance entre RER et bus, par exemple, il vous faudra 2 tickets
• Ces deux titres existeront aussi à tarif réduit pour les publics ayant aujourd’hui droit à des réductions
Navigo Liberté+ valable partout en Île-de-France
Depuis le 1ᵉʳ janvier 2025, circulez partout en Île-de-France avec votre passe Navigo.
Prenez librement le train, le métro, le tram, le bus, le RER : vous bénéficiez de tarifs avantageux et les correspondances vous sont offertes, quel que soit le mode de transport que vous empruntez !
Avec Navigo Liberté+ :
• le Ticket Métro-Train-RER est à 1,99 €
• le Ticket Bus-Tram est à 1,60 €
• la correspondance entre le bus ou le tram avec le métro, train ou RER est offerte
Liberté+ sur votre smartphone au printemps 2025
Dans un premier temps, Navigo Liberté+ est disponible uniquement sur carte Navigo, mais au printemps 2025 vous pourrez le charger et l’utiliser directement depuis votre smartphone Android et iOS !
Vous avez déjà un passe Navigo Liberté+ ?
Bonne nouvelle ! Vous n’avez rien à faire pour bénéficier de sa validité sur l’ensemble du réseau, inutile de changer de carte.
Et si j’ai encore des tickets+ et Origine/destination ?
S’il vous reste des tickets t+ sur votre téléphone, votre passe Easy ou des tickets Origine/destination dans votre poche, ils restent valables jusqu’au 31 décembre 2025.
Cependant, veillez à les utiliser rapidement : les tickets magnétiques vont disparaître peu à peu et de plus en plus de valideurs ne les accepteront plus.
Les tickets d’accès à bord des bus resteront disponibles au prix de 2,50 €.
Une simplification qui s’applique aussi aux titres destinés aux visiteurs
• Navigo Jour toutes zones à 12 €, au lieu de 20,60 € (sans accès aux aéroports)
• Tarif unique aéroport à 13 €, valable pour les deux aéroports (Roissy Charles-de-Gaulle et Orly), au départ à destination de toute l’Île-de-France
• Paris Visite à 29,90 €, incluant l’accès aux aéroports et des réductions auprès de sites et monuments parisiens, tels que le musée Grévin, les Invalides ou encore le Château de Versailles
Pourquoi ces travaux ?
Vous pouvez retrouver toutes les informations sur les travaux sur le blog du RER D avec une vision à 6 mois.
https://maligned.transilien.com/2024/12/03/travaux-des-6-premiers-mois-de-2025/#janvier2025
Pour vous aider à planifier vos déplacements , nous vous invitons à utiliser la fonctionnalité « SNCF » de notre application mobile « Vigneux en poche ».
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Millie, l’animatrice passionnée par la littérature jeunesse à la Bibliothèque Charlotte-Delbo, joue un rôle central dans cette démarche. Chaque semaine, elle anime des ateliers où elle présente quatre ouvrages soigneusement sélectionnés. Ces séances, à la fois ludiques et pédagogiques, sont organisées autour de plusieurs étapes : la lecture collective des livres, l’analyse des textes et des illustrations, et des discussions sur les thèmes abordés. « Ces moments sont des occasions idéales pour stimuler la réflexion collective, où les enfants sont invités à partager leurs opinions, poser des questions et découvrir l’univers des auteurs et illustrateurs », explique-t-elle.
Les apports d’une telle initiative pour les enfants
L’intérêt principal de ces ateliers réside dans les échanges qu’ils génèrent entre les participants. Poursuivant, elle indique : « Les livres sont choisis pour leur richesse narrative et visuelle, ce qui permet aux enfants de mieux comprendre l’histoire et ses messages. Ils sont encouragés à débattre, confronter leurs points de vue et à justifier leur choix du livre préféré. »
Ce processus contribue à développer des compétences essentielles telles que l’esprit critique, l’argumentation et la réflexion sur les œuvres littéraires. Elle suscite un véritable intérêt pour la lecture en dehors du cadre scolaire, leur permet d’explorer les livres sous un angle critique et d’appréhender les différentes facettes de l’art littéraire. « En votant pour leur livre préféré, les jeunes lecteurs s’engagent dans un exercice citoyen, prenant part à une décision collective et renforçant leur sens de l’engagement ».
Un prix littéraire pour clôturer l’aventure
Le projet culminera le 29 avril, lors de la cérémonie de clôture du prix littéraire à la médiathèque Ramond-Aron, de Montgeron. Après plusieurs mois d’échanges et de débats, les enfants voteront pour désigner le livre qui les a le plus séduits. « En votant pour leur livre préféré, les jeunes lecteurs s’engagent dans un exercice citoyen, prenant part à une décision collective et renforçant leur sens de l’engagement ». L’ouvrage gagnant recevra une distinction bien méritée, et son auteur sera célébré lors d’une cérémonie festive.
En somme, ce prix littéraire, initié par la bibliothèque Charlotte-Delbo, dépasse le cadre d’un simple concours de lecture. Il représente un projet éducatif complet qui place la littérature et le débat au cœur de l’apprentissage, tout en offrant aux enfants une occasion unique de se forger une opinion et de s’exprimer dans un environnement démocratique.
Les partenaires : ce projet rassemble celles et ceux participant aux différents Contrats Locaux d’Accompagnement Scolaire (CLAS) de la Ville (Programme de Réussite Educative, Centre Social de l’Amandier, la Parentaise Enfantine, et l’ASSICB).
La France est en proie à une crise sanitaire profonde, dont les répercussions se font sentir à l’échelle locale. À Vigneux-sur-Seine, comme dans de nombreuses autres communes, la pénurie de médecins et la pression accrue sur les professions paramédicales compliquent l’accès aux soins. Une enquête menée en 2024 par l’URPS Médecins Libéraux d’Île-de- France révèle que 93 % des professionnels de santé rayonnant sur le territoire de la CAVYVS observent une réduction de l’offre de soins, notamment en médecine générale.
Des besoins de santé croissants et des inégalités d’accès aux soins
L’étude révèle une situation particulièrement préoccupante ! Seulement 90 médecins libéraux, dont 42 généralistes, sont présents pour une population en croissance. Certaines spécialités, comme la dermatologie, l’ophtalmologie ou la pédiatrie, sont sous-représentées. Les professions paramédicales, comme les infirmiers et kinésithérapeutes, souffrent également de cette pénurie, entraînant des délais d’attente de plus en plus longs pour les soins. À Vigneux-sur-Seine, la situation est encore plus difficile avec seulement 13 généralistes pour 33 000 habitants, soit un médecin pour 2 538 habitants. Fait aggravant aussi : Près de 55 % des médecins généralistes sont âgés de plus de 60 ans, accentuant la pénurie imminente. La commune se distingue aussi par sa population jeune, avec 35 % de ses habitants ayant moins de 30 ans. Les besoins en santé scolaire, pédiatrie et prévention sont donc primordiaux. Par ailleurs, certains quartiers comme la Croix-Blanche, où les difficultés sont parfois plus prégnantes, rencontrent des difficultés supplémentaires pour accéder aux soins. Les maladies chroniques, telles que le diabète ou les maladies cardiovasculaires, touchent de plus en plus de personnes, exacerbées par des modes de vie précaire.
Des infrastructures limitées
Malgré la présence de centres de santé et de cabinets privés, l’offre de soins dans la ville reste insuffisante pour répondre à la demande croissante. Certaines infrastructures sont vétustes et inadaptées, ce qui décourage l’installation de jeunes praticiens. Pour pallier ces insuffisances, plusieurs projets de développement de pôles médicaux ont été envisagés, notamment à Montgeron et Vigneux-sur-Seine. Cependant, ces initiatives se heurtent à des obstacles majeurs, tels que l’état des bâtiments existants et les coûts élevés des travaux.
La ville dispose déjà de plusieurs structures essentielles pour répondre à la demande croissante de soins. C’est le cas des Maisons de Santé Pluriprofessionnelles (MSP), telles que celles de la Plaine des Sables et de la Gare. Elles permettent de regrouper plusieurs professionnels de santé sous un même toit, ce qui favorise la mutualisation des ressources et réduit les charges administratives. En outre, la ville dispose également de divers centres spécialisés : le Centre Médico Psycho Pédagogique (C.M.P.P.), le Centre Médico–Psychologique (C.M.P.), un Centre de Prévention Médico-sociale, un Centre de Planification, une Maison Médicale de Relais, et d’autres structures de soins (comme par exemple, la récente installation de sept nouveaux praticiens libéraux face à l’Hôtel de Ville) qui complètent l’offre médicale existante.
Pour répondre aux défis de santé publique à Vigneux-sur-Seine, plusieurs solutions sont proposées
D’abord, il s’agit de développer davantage de maisons de santé pluriprofessionnelles (MSP) afin de mutualiser les ressources et alléger la charge des praticiens. Ensuite, il convient de favoriser l’installation des jeunes médecins. Il est également important de renforcer les actions de prévention au sein des écoles, entreprises et associations locales. La promotion de la télémédecine permettra, quant à elle, d’élargir l’accès aux spécialistes sans nécessiter de déplacements. Enfin, des campagnes de sensibilisation et des initiatives seront mises en place pour mobiliser les habitants et coconstruire un système de santé adapté aux besoins locaux.
Les projets structurants, tels que les MSP, le CLS et la CPTS constituent des leviers essentiels pour répondre aux besoins croissants de la population. Cependant, leur réussite dépendra d’une coopération renforcée entre élus, professionnels de santé et citoyens.
Le Contrat Local de Santé (CLS)
Signé le 13 février 2024 et prévu pour durer jusqu’en 2028, Ce dispositif intervenant au niveau intercommunal est un outil réglementaire de collaboration entre l’Etat et les collectivités. Il décline les projets de l’Agence Régional de Santé (ARS) et développe les actions de santé publique à l’échelle de l’agglomération. Le CLS va permettre d’approfondir la connaissance sur leur offre de soins et l’accès de leur population à ces services pour proposer des réponses spécifiques locales, avec un coup de pouce financier de l’ARS. Il portera également sur la promotion de la santé, de la prévention, les politiques de soins et l’accompagnement médico-social. Il vise à : Réduire les inégalités d’accès aux soins, en particulier dans les quartiers prioritaires comme la Croix-Blanche ; A soutenir les campagnes de prévention, notamment dans les écoles, pour sensibiliser les jeunes générations aux enjeux de santé et enfin, à encourager l’innovation, en particulier via le développement de la télémédecine pour faciliter l’accès aux soins à distance.
La Communauté Professionnelle Territoriale de Santé (CPTS)
Vigneux-sur-Seine est partie prenante de la CPTS du Val de Seine, elle regroupe plusieurs communes pour coordonner l’action des professionnels de santé. Cette structure a déjà permis d’organiser des campagnes de dépistage, pour des pathologies comme le diabète et les maladies cardiovasculaires, en collaboration avec les pharmacies locales. Mais également de faciliter le parcours de soins des patients grâce à une meilleure coordination entre généralistes, spécialistes et établissements hospitaliers.
Situé au cœur du quartier de la commune, à l’emplacement de l’ancien bâtiment de la CPAM, propriété de la Ville, qui sera démoli pour laisser place à cette nouvelle infrastructure moderne, ce centre s’étendra sur 3 679 m² et regroupera plusieurs équipements complémentaires :
– 1 médiathèque moderne de 1 111 m², destinée à remplacer l’actuelle bibliothèque intercommunale Charlotte-Delbo;
– 1 conservatoire de 845 m² consacré à la musique, la danse et le théâtre, avec des salles adaptées aux pratiques pédagogiques;
– 1 salle de spectacles de 350 places (791 m²), conçue pour devenir un lieu de rencontre culturel incontournable.
Les objectifs du projet sont multiples :
Il s’agira de centraliser l’offre culturelle actuellement dispersée dans des bâtiments vieillissants, offrant ainsi un meilleur accueil au public. L’architecture intégrera des éléments emblématiques de la région, comme les briques rouges, tout en répondant à des exigences contemporaines et fonctionnelles. Le projet visera également à transformer l’entrée du quartier en un pôle attractif, renforçant l’identité du territoire. Un bâtiment à énergie positive, labellisé « Bâtiment durable francilien », et des espaces extérieurs comme un jardin pour la médiathèque et un parvis accessible viendront compléter cette infrastructure, en en faisant un lieu de convivialité.
Un processus démocratique pour un projet exemplaire
Le 13 novembre 2024, un jury composé de représentants institutionnels, d’experts et de professionnels indépendants a sélectionné quatre équipes finalistes lors d’un concours architectural. Ces équipes devront soumettre leurs propositions détaillées début 2025. L’évaluation prendra en compte la qualité des espaces, leur durabilité, leur impact environnemental et leur intégration dans le tissu urbain existant. Cette diversité dans le jury assurera une évaluation équilibrée, prenant en compte les impératifs techniques et les attentes des habitants.
Un calendrier clair et une feuille de route bien définie
Le projet avance selon un calendrier précis, avec plusieurs étapes clés. En décembre 2024 : Transmission des cahiers des charges aux équipes finalistes. Dès Janvier-février 2025 : Remise des propositions détaillées par les finalistes. Puis mi-2025 : Sélection du projet gagnant et début des études opérationnelles. Enfin, à l’issue de ce processus, ce sera le début des travaux…
Ce futur centre culturel intercommunal sera bien plus qu’un équipement : un véritable catalyseur de renouveau pour le quartier et la région, alliant innovation, durabilité et vivre-ensemble. Carrefour de la culture et de la citoyenneté, ce lieu deviendra un espace dynamique et inclusif, valorisant chaque habitant, quelle que soit son origine. Il sera un vecteur clé de développement social et culturel, propice à l’épanouissement collectif.